Les fameux "black cabs" n'ont pas quittés les routes de Londres, mais se pavanent à présent de publicités en tout genre et ont des prix déments.
The Black cabs are still in London, covered with ads, and got insanes prices.
Quant aux cabines téléphoniques, elles persistent tant bien que mal dans le centre, mais se font peu à peu recouvrir elles aussi de publicités non pas cette fois commerciales, mais pornographiques. Alors si un jour vous recevez un coup de téléphone d'un ami étant à Londres, ne vous inquiétez pas de sa voix mal à l'aise...
And telephone box are trying to stay in the center, but are little by little cover up by porn advertisment. So calling from there to your mum or dad is a kind of embarassing...
Nous n'oublions pas non plus les fameux bus à impériale qui ont été retirés de la circulation en 2005,
pour êtres remplacés par ça :
And we don't forget as well those Routemaster who'se been take out of the road in 2005,
to be replaced by that :
Mon livre sur Londres en parle comme ça : "... les bus à impériale rouges qui circulent dans les rues de Londres ne ressemblent pas tout à fait à ceux que l'on voit en photos. L'explication est simple. Ces "Routemaster" avaient été spécialement conçus dans les années 1950 pour les rues étroites de Londres. L'ancien Routemaster disposait d'une cabine séparée pour le chauffeur, d'un contrôleur vendant les tickets et d'un marche pied à l'arrière, pratique pour attraper le bus à la dernière minute. Les nouveaux bus n'ont ni l’élégance, ni le style de leur prédécesseur.
Jonathan Glancey, critique d'architecture du Guardian's, ne mâche pas ses mots : ces "boîtes à chaussures mobiles" auraient "un plan confus, un décors qui semble dessiné par un singe à qui l'on aurait confié ses crayons, un moteur assourdissant, des freins grinçants, des sièges couverts d'un plastique collant (dont certains, orientés dos à la route, causent la nausée) et un éclairage digne d'une salle d'interrogatoire du FBI".
Alors pourquoi les Routemaster ont dû céder la place? Deux raisons majeures : ils n'offraient aucun accès pour les personnes handicapées, et quelques personnes mourraient chaque année en tombant par dessus bord, du haut de l'impériale..."
Bref, en tout cas, on peut toujours rentrer chez sois, jours et nuits, dans des bus qui roulent. C'est ce qui compte...
À noter cependant que quelques rares bus à imperiale sont encore en circulation, sur quelques lignes touristiques ; ils sont aussi régulièrements loués pour des mariages, fêtes en tout genre.
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My book about London say : "... these red buses that we see in London doesn't really look like those that we see in pictures. The explanation is simple. These Routemaster had been created in the 50s especially for the cramped streets of London. The old Routemaster had a separate box for the driver, a ticket collector and a step in the back to catch the bus at the last minute. The new buses doesn't have the grace or the style of their predecessor.
Jonathan Glancey, architecture critic of the Guardian's, is very clear : "It will make you feel better if the buses that have plied your route for the past 30 years have been replaced by loud, overweight, gas-guzzling, driver-only mobile shoeboxes" ... "An "accessible" bus has doors, to stop passengers getting on and off when they choose to in heavy traffic, muddled floorplans, decor designed as if by an underachieving ape let loose with a box of crayons, an ear-splitting engine, hissing air-brakes, sticky, plastic-backed seats, some facing backwards to induce nausea, and lighting swiped from an FBI interrogation room".
So why the Routemaster had to give up? Two main reasons : there where no access for handicapped persons, and few people where dying every year falling down the second floor of the Routemaster. "
Well, anyway, we still can come back home, days and night, in a whatsoever kind of bus.
But there's still few Routemaster in the traffic, in some touristic lanes ; and they're as well rent for weddings, parties...